Archive for February, 2008
Conya Doss
Wednesday, February 20th, 2008Après « Just Because » publié en 2004, Conya Doss nous propose son second CD pour Dôme Records.
La sortie est prévue pour le 4 Avril 2008.
Le sommaire devrait comporter un titre « Emotions » produit par Angela Johnson (qui n’est pas présent sur la compilation récemment éditée et sous titrée “A woman’s touch”) ainsi que le premier single à paraître « Let’s do something 2nite ».
Elle se produira bientôt en Suisse en compagnie de la chanteuse locale Seven. Dans l’immédiat, aucune date n’est prévue en Angleterre ou en France
JCM
MELANIE RUTHERFORD
Sunday, February 17th, 2008Tout comme pour Dôme, il semblerait que le salut créatif vienne des indépendants. True Substance Records (Michigan) qui n’a même pas encore de site web lance Melanie Rutherford. Les aficionados purs et durs la connaisse pour ses rencontres dans le monde du hip hop avec, entre autres, une participation remarquée avec le rapper Redman. Sur ce premier Cd l’ambiance est différente car délibérément orientée « nu-soul ». Sans surprise et grâce à une voix rocailleuse voire écorchée il y a dans son inspiration du Jill Scott (Life) ainsi que du Erykah Badu (Thick girl anthem). Les découvertes se font à mesure que se déroule l’écoute et c’est ainsi que nous découvrons la splendide ballade One conversation en duo avec Mark Allen. Mais comme bon sang ne saurait mentir, elle retrouve ses influences premières en invitant ses amis rappers Binksta B. et J. Ram (respectivement Understanding, Hood love). A découvrir d’urgence.
JCM
La note de Soul Corner : 4/5
Mr Nov aka Chinois Chauve
Wednesday, February 6th, 2008Mr Nov, 21 ans compose et écrit lui même ses chansons. Son titre ma vie de galérien est un bon exemple de ce qui se fait de mieux dans le paysage musical du R’n'B français. Voici son premier clip en attendant la sortie de son LP en mars.
Son Myspace : http://www.myspace.com/monsieurnov
BONEY FIELDS
Monday, February 4th, 2008Une soirée agréable en perspective pour ceux qui seront dans le quartier.
on apprécie son funk et un peu moins ses incursions dans le blues un peu rabaché de “Sweet Home Chicago”comme un certain soir à l’hôtel Méridien. On ne lui en veut pas car il doit gagner sa vie à la sueur de sa trompette. On le comprend lorqu’en coulisses certains bluesmen dont Tony Coleman se plaignent d’être obligés de passer sous les fourches caudines de programmateurs pas trés inventifs et d’un public pas trés curieux de nouveautés.